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lakouete
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lakouete


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MessageSujet: -M-   -M- EmptyMer 8 Oct - 13:35

Marmotte

La marmotte commune est également bien connue sous le nom de siffleux. Elle fait parti de l'ordre des rongeurs (comme les écureuils, les chiens de prairie et les tamias). Il s'agit d'un herbivore.

La marmotte pèse généralement entre 2 et 4 kg (entre 4,5 et 9 lb), mais elle peut atteindre 7 kg (15,5 lb) à l’automne. Elle mesure de 40 à 65 cm (de 16 à 25 po) de long à peu près. Son pelage est habituellement brun roux, et les pattes, foncées, mais il n'est pas rare d'y voir du noir, du brun sombre, du blond et même du blanc.

Grâce à ses fortes pattes munies de griffes, ce fouisseur creuse de vastes terriers pourvus d’une entrée principale, de trous de guet, d’une salle de défécation ainsi que d’un nid ou d'une chambre de repos.

C’est dans ce nid que naîtra l’unique portée annuelle qui compte en moyenne quatre ou cinq petits. Même si les marmottes communes sont reconnues comme étant des animaux solitaires, il arrive que les mâles demeurent dans les environs après l'accouplement. Il arrive aussi qu'un couple ou qu'une mère et son petit hiberne dans le même terrier.

La marmotte commune est un parfait exemple d’hibernant. En effet, les premières marmottes à hiberner le font dès la fin septembre, et à la fin octobre, elles sont toutes dans leurs terriers. Elles ne se réveilleront et ne sortiront de leur gîte qu'au début du printemps. Au cours de la saison hivernale, le métabolisme de l'animal ralentit considérablement : sa température corporelle passe de 37 à 4° C (de 99 à 7° F), et son rythme cardiaque, de 80 à 5 pulsations la minute. Il est en mesure de respirer aussi peu souvent qu'une fois toutes les six minutes. Au cours cette période, il aura perdu de 17 à 55 % de son poids. Les mâles adultes sortiront de leur terrier en premier, au printemps, puis quelques semaines plus tard, ce sera au tour des femelles adultes.

Lorsqu'elles sont à l'extérieur de leurs terriers, les marmottes communes semblent être constamment sur le qui-vive. Effrayées, elles laisseront entendre un sifflement strident, d'où leur vient le nom de siffleux. Elles poussent des cris aigus dès qu'elles se battent, qu'elles sont sérieusement blessées ou qu'un prédateur les saisit. Elles sont également capables d'émettre un son en grinçant des dents, de même qu'un faible jappement.

Les marmottes communes ne se voient qu'en Amérique du Nord. Jadis, leur présence se faisait rare dans les clairières, mais elles se portent bien depuis que la coupe à blanc des forêts et l'agriculture à l'occidentale ont fait leur entrée en Amérique du Nord. On les trouve de l'Alaska et la Colombie-Britannique jusqu'au Labrador, et aussi loin qu'en Louisiane.

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Moufette

C’est peut-être parce que la moufette est essentiellement nocturne que la plupart des Canadiens la connaissent davantage par ouï-dire que par expérience personnelle. Sa capacité de projeter de son orifice anal un double jet d’un liquide malodorant est de notoriété publique. Lorsqu’elle se sent menacée, la moufette réussit à éjecter son parfum avec une précision extraordinaire et parvient à le faire sans trop se tromper à une distance qui peut dépasser 4 m (13 pi). La croyance populaire veut qu’elle soit incapable de lancer son liquide quand on la soulève par la queue... n'en croyez rien!

La moufette a une alimentation fort variée. Insectes, petits rongeurs, oiseaux, charognes, fruits et autres matières végétales constituent l’essentiel de sa diète. Elle n’hiberne pas, mais elle se retire généralement dans sa tanière pour dormir pendant de longues périodes afin d’échapper au mauvais temps.

La moufette a peu d’ennemis naturels, mis à part le Grand Duc. Les autres carnivores la dédaignent, à moins qu'ils ne soient réellement affamés.

La moufette rayée habite tout le sud du Canada, les États-Unis et le nord du Mexique.

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Monarque

Le monarque est le « papillon de l'asclépiade », étant donné l’importance de cette plante pour la survie et le développement de l’insecte. L’asclépiade procure au monarque nourriture et abri pendant la majeure partie de son cycle de vie. De plus, en mangeant les feuilles toxiques de cette plante, le monarque devient un véritable poison pour ses prédateurs.

Comme les autres papillons, le monarque subit plusieurs transformations après l’éclosion : chenille (ou larve), chrysalide (ou pupe), papillon adulte. Les oeufs éclosent après trois à cinq jours.

L’oeuf produit une chenille qui atteindra la taille d’environ 5 cm (2 po) en une quinzaine de jours. Pour une cinquième et dernière fois, elle mue et s’attache la tête en bas à une brindille. Ensuite, elle se départit de sa peau et forme la chrysalide en quelques heures. C’est là que la chenille se transforme en papillon en environ deux semaines. Un adulte vit de 3 semaines à 7 mois, selon la génération et la saison.

Il existe deux populations distinctes de monarques en Amérique du Nord. Les monarques de la population de l’Est se reproduisent à l’est des Rocheuses et migrent au centre du Mexique. Ils y passent l’hiver dans les forêts de sapins des hautes montagnes. Des millions et des millions de monarques volent quelque 4000 km (2 480 mi) pour s’y rendre. En 1975, des scientifiques ont suivi leur migration et découvert leurs quartiers d’hiver au Mexique, un secret que les habitants de cette région étaient les seuls à connaître.

Les papillons de la population de l’Ouest se reproduisent à l’ouest des Rocheuses et passent l’hiver dans des bosquets le long de la côte californienne.

La survie des monarques est menacée. Au Canada et aux États-Unis, l’agriculture industrielle et l’usage d’herbicides transforment les prairies parsemées d’une multitude de fleurs en champ de monoculture. Privés de leur habitat d’été, les monarques ne peuvent plus se reproduire et survivre à leur migration. Au Mexique et en Californie, des menaces encore plus grandes pèsent sur eux : on coupe les arbres et détruit leurs aires d’hivernage malgré les efforts de conservation. Comme de grandes populations se réunissent en quelques sites pour hiverner, la perte d’habitat peut se révéler dévastatrice.

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Mouche

La mouche domestique, l'un des insectes les plus connus et les plus répandus, ne fait pas qu'agacer : elle est l'un des principaux porteurs de germes. Son corps grouille de millions de bactéries et elle en dépose souvent sur les aliments. C'est ainsi qu'elle répand d'innombrables maladies, notamment le typhus, la dysenterie, la tuberculose et la poliomyélite. Parvenant à la maturité sexuelle seulement deux semaines après la ponte, les jeunes femelles pondent à leur tour, de sorte que le bref intervalle qui sépare chaque génération permet la multiplication de l'espèce à un rythme éffrayant.

Ses aires de reproduction préférées sont les immondices, les excréments humains laissés à découvert, les fientes, les détritus et la charogne. Les pays industrialisés réussissent assez bien à en contrôler la population grâce aux égouts modernes, à l'enlevement des ordures et a l'hygiène publique.
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